Les prévisions des instituts économiques misaient sur une performance du PIB de 0,4%, finalement c’est une augmentation de 0,6% qui a été annoncée par l’Insee pour le 1
er trimestre de cette année. Cette situation inattendue est en majeure partie due à la consommation, bien plus qu’à l’investissement. C’est ce qui explique que l’emploi a quand à lui du mal à décoller, avec encore 13.500 pertes pour la même période. La courbe du chômage ne pourra en effet s’inverser sans cette donne importante qu’est le retour à l’investissement des entreprises.
Malgré les 120.000 personnes actives supplémentaires prévues en 2015, l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) table sur une décrue du chômage si certaines conditions le permettent. Il s’agit d’un prix du baril de pétrole stabilisé à 60 dollars, d’un taux d’intérêt restant faible et enfin d’une quasi égalité entre l’euro et le dollar. Si toutes ces données sont réunies, le PIB pourrait atteindre les 2% en 2015, avec 205.000 emplois créés, dont 178.000 dans le secteur marchand.
Une belle vision de l’avenir en perspective avec une reprise économique qui sera bénéfique au moral et à l’ambiance générale. Côté budget des ménages, un
rachat de crédits permet de réduire la charge de remboursement mensuel grâce à un seul emprunt. Il
contient tous les anciens prêts et s’étale sur une durée plus longue, ce qui le rend plus couteux.